Votre santé vertébrale est-elle votre priorité? (partie 1)
Il est facile d’oublier que notre dos supporte bien des charges au courant de nos activités quotidiennes… Jusqu’au jour où il proteste contre les abus cumulés des dernières années. Pour éviter d’en prendre soin de manière préventive, on s’invente des tas de petites excuses rassurantes. Voici un survol des plus fréquentes, ainsi que des raisons pour lesquelles vous ne devriez pas trop vous en servir!
«Je n’ai pas mal au dos, donc tout doit être parfait»
En fait, près de 80% des gens souffrent de maux de dos au courant de leur vie. Avant ce moment, peut-être avaient-ils une mauvaise posture, de mauvaises habitudes ergonomiques ou peut-être prenaient-ils des risques sans le savoir? Consulter un chiropraticien aide à agir préventivement en identifiant à la source les problèmes qui pourraient mener à de la douleur. C’est d’ailleurs bien plus rapide (et donc moins coûteux) de corriger une petite faiblesse qu’un gros problème! Pourquoi attendre?
«Mes problèmes de santé n’ont aucun lien avec ma colonne vertébrale»
En êtes-vous bien certain? La moelle épinière, qui se cache au cœur de la colonne vertébrale, est une véritable autoroute pour les influx nerveux en provenance de l’ensemble de votre système. Or, il n’est pas rare qu’une subluxation vertébrale (perturbation du fonctionnement d’une articulation de la colonne) puisse provoquer des interférences dans ces influx. Cela pourrait être la cause d’autres problèmes de santé qui semblent pourtant sans lien avec le dos, ou du moins nuire à un prompt rétablissement.
«Je manque de temps»
Prendre soin de sa colonne vertébrale n’est pas une tâche à caser dans son horaire, mais plutôt le résultat d’habitudes à adopter au quotidien : porter attention à sa posture tant en position assise que debout, bien s’alimenter, être actif physiquement, etc. Limiter le stress et se ménager des moments de détente sont aussi de bons moyens de prendre soin de sa santé vertébrale : prenez donc le temps de prendre soin de vous!
Voici qui clôt la première partie de notre chronique «votre santé vertébrale est-elle une priorité pour vous?».